Renaud Roques explique ici que les services français avaient un accès direct à la liste des personnes dont l’activité sur Internet était interceptée par les clients d'Amesys, les cibles de dictatures et d'Etats policiers. Ils savaient quels opposants étaient visés et ce qu’ils risquaient. Il y a quelque chose de pourri au pays des droits de l’homme, à en croire le chef du projet Eagle chez Amesys.