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Des lentilles de contact contaminées par des produits chimiques cancérogènes - AlloDocteurs

Les industriels passent leurs temps à nous empoisonner, quand je tiens un tel discours, il n'est pas rare de m'attirer foudre ou incompréhension. Les parlementaires ne nous protègent pas, ils protègent leurs carrières.
Quand Bayer, champion de l'oncologie, rachète Monsanto lui-même champion des intrants responsables de multiples cancers, la boucle est bouclée.
À la fin, je peux déjà quantifier la baisse de mon espérance de vie à plusieurs décennies, en raison de mon dossier médicale à 50 ans. Tous mes arrières grand-parents ont fini nonagénaires, mes grands-parents octogénaires...

"L’exposition aux PFAS, nocifs pour la santé, peut avoir des effets sur la fertilité et le développement du fœtus. Ils sont également soupçonnés d'entraîner des risques accrus d'obésité, de favoriser l'apparition de certains cancers (prostate, reins et testicules) et d'être liés à des complications foetales, des maladies du foie et des maladies oculaires."

Le cancer est en forte progression dans le monde

Santé : la molécule qui pourrait en finir avec le cancer | Les Echos

Découvert en Europe, le Keytruda - molécule du laboratoire Merck - a connu bien des vicissitudes avant de devenir l'un des traitements incontournables des cancers les plus répandus. Ce booster du système immunitaire pourrait bien devenir en 2020 le plus gros chiffre d'affaires de la pharmacie.


Patrick Bosquelle n'est pas près d'oublier le déménagement de son beau-fils en 2018. Les douleurs que ce jeune retraité roubaisien prend pour le contrecoup de l'effort physique révèlent un mal bien plus sérieux : un cancer du poumon déjà métastasé. Le diagnostic laisse peu d'espoir, d'autant qu'il est inopérable. La chimiothérapie risque d'être pénible sans beaucoup de résultat. Reste la piste de l'immunologie testée à l'époque à l'hôpital de Roubaix. Le pembrolizumab - ou Keytruda, son nom commercial - du laboratoire américain Merck (MSD en France) libère l'énergie des défenses immunitaires contre les cellules cancéreuses. Et les résultats sont rapides.

« Trois semaines après la première injection, j'ai constaté une réduction de la métastase dans mon cou », raconte Patrick Bosquelle. « Trois mois après, je pouvais quitter ma chaise roulante et retourner à la piscine », ajoute ce sexagénaire bronzé depuis son nouvel appartement de la côte d'Azur. S'il reçoit encore une injection de Keytruda toutes les six semaines, selon le protocole prévu sur deux ans, aucune trace de métastase depuis le scanner de mai dernier.

Mobile phone cancer warning as malignant brain tumours double